L’amour d’un père
L’amour d’un fils
Quand ils font la paire
Pour s’en aller à Memphis
Ils deviennent des frères
Prenant le goût du risque
Et si cela ne suffit pas
Ils vont plus loin là-bas
Et si cela ne suffit pas
Ils iront bien au-delà
L’important c’est d’aimer
Le temps d’une paternité
L’important c’est partager
Le temps de deux destinées
De deux destinées
Donne-moi tous ces instants
Donne-moi tous ces bonheurs
Donne-moi tous ces moments
Donne-moi toutes ces heures
Je te donne
Je te donne tout mon temps
Je te donne
Je te donne tout mon amour
Je te donne
Je te donne tout ce temps
Je te le donne pour toujours
Je te le donne mon amour
Je te le donne
Je te le donne
Je te le donne
L’important c’est de donner
De donner du temps
Du temps au temps
L’important c’est d’aimer
D’aimer au regard
Au regard du temps
L’important c’est d’aimer
D’aimer au regard
Au regard du temps
Au regard du temps
Au regard du temps

Je voudrais te dire en ce jour
Combien tu comptes mon amour
Tous nos matins câlins
Nos délires enfantins
Je t’ai vu grandir
Je ne t’ai pas vu vieillir
Dans cette robe blanche
Ces mains posées sur tes hanches
Le bal des mariés va commencer
C’est un moment hors du temps
Des sentiments qui durent longtemps
Tu vas vivre aujourd’hui
Le plus beau jour de ta vie
Et pour vivre cet évènement
Tu as près de toi tes parents,
Tes parents qui t’aiment si tant
Je voudrais te dire tant de choses
Tous mes sentiments dans ma prose
Que ce merveilleux chemin
Qui t’amène vers demain
Te donne le plus beau
Le plus beau des cadeaux
Les fruits de l’amour, des enfants
Mais avant d’être parents
Le bal des mariés va commencer
C’est un moment hors du temps
Des sentiments qui durent longtemps
Tu vas vivre aujourd’hui
Le plus beau jour de ta vie
Et pour vivre cet évènement
Tu as près de toi tes parents,
Tes parents qui t’aiment si tant
Je voudrais te dire mon amour
Ma fille, Ma Puce, qu’en ce jour
Je me souviens de tout
Jusqu’à tes gros poutous
Maintenant, je suis vieux
Tes lumières dans mes yeux
Brillent pour cette robe blanche
Une larme , ma joie s’épanche
Le bal des mariés va commencer
C’est un moment hors du temps
Des sentiments qui durent longtemps
Tu vas vivre aujourd’hui
Le plus beau jour de ta vie
Et pour vivre cet évènement
Tu as près de toi tes parents,
Tes parents qui t’aiment si tant
Qui t’aiment si tant

Je voudrais te dire
Cet enfant à venir
Représente
Notre devenir
Et si je chante
Cette belle histoire
C’est pour qu’un soir
Au coin de tes yeux
Cette jolie larme
Brille de mille feux
Et nous désarme
Nous, les Vieux
Tu nous donnes ce bonheur
Une partie de ton cœur
Et toutes ces jolies couleurs
Dans ce bouquet de fleurs
Pour ce petit enfant
Qui va naître à présent
Pour ce petit enfant
Que j’aime déjà si tant
Et que j’attends
Depuis longtemps
Je voudrais t’écrire
Tous ces mots d’avenir
Mes mots d’amour
Avec ton sourire
Pour tous les jours
Conter des histoires
T’inviter le soir
Aux rêves merveilleux
Cette petite âme
Brille dans nos yeux
Et nous enflamme
Nous, les Vieux
Tu nous donnes ce bonheur
Une partie de ton cœur
Et toutes ces jolies couleurs
Dans ce bouquet de fleurs
Pour ce petit enfant
Qui va naître à présent
Pour ce petit enfant
Que j’aime déjà si tant
Et que j’attends
Depuis longtemps
Je voudrais simplement
Mon petit enfant
T’aimer, te choyer
Moi, ton grand parent
T’aimer, te câliner
T’apprendre des histoires
Avec monsieur Mouchoir
Faire mille jeux
Jouer aux dames
Exaucer tes vœux
Comme vague à l’âme
Auprès de ton Vieux
Tu nous donnes ce bonheur
Une partie de ton cœur
Et toutes ces jolies couleurs
Dans ce bouquet de fleurs
Pour ce petit enfant
Qui va naître à présent
Pour ce petit enfant
Que j’aime déjà si tant
Et que j’attends
Depuis longtemps
Trop longtemps

Merci à la vie
La vie que tu nous donnes
Celle qui nous réjouit
D’un petit Aaron
Ce joli fruit de l’amour
Dans mon cœur, résonne
Et comme un troubadour
Je te chantonne
Hou... Aaron (hou baby...)
Merci à vous deux
Pour ce petit homme
Qui charme de ses yeux
Faut voir comme
Il n’a que quelques jours
Et je m’étonne
Des risettes d’amour
Du petit Aaron
Hou... Aaron (hou baby...)
Merci pour cet enfant
Pour ce petit Aaron
Devenus grands-parents
Notre joie rayonne
Et comme toujours
Les cloches sonnent
Du haut de leur tour
Pour le petit Aaron
Hou... Aaron (hou baby...)

Short, short, short !...
Frimousse !...
Imagin !
Short, short, short !...
The wind !
Imagin !
Court, court !
Je te rattrape !
Court !
Je suis le vent...
Qui te caresse...
Court, court !...
Court, court !...
Imagin !
Imagin !

Je viens de mettre
Tes petits souliers
Sous le sapin
Et par la fenêtre
Je vois les écoliers
Partir dans le matin
Leur sourire de fête
Pour cette veillée
Auprès du sapin
Pensant dans leur tête
Aux jouets par millier
Qu’ils auront au matin
C’est demain Noël
Le paysage
A mis son blanc manteau
Et dans les ruelles
Le monde est sage
Et attends son traineau
C’est demain peut-être
Que les oubliés
Recevront du pain
Et si les peut-être
Pouvaient tout changer
Que les gens tendent leurs mains
Comme un jour de fête
Pour mieux partager
Ce jour sans faim
Un jour qui se répète
Et pour l’éternité
Noël soit le matin
C’est demain Noël
Le paysage
A mis son blanc manteau
Et dans les ruelles
Le monde est sage
Et attends son traineau

C’est ton anniversaire
J’en suis ravi
Mes vœux les plus sincères
Pour toute ta vie
Je te dois cet aveu
Le soir dans ton lit
Je ne vois que tes yeux
Éclairant mes nuits
Quand le matin se lève
Au bord de ton lit
Je peux lire sur tes lèvres
Le temps d’aujourd’hui
Si tu es en colère
Ou que tu t’ennuies
Je chante un nouvel air
À nouveau tu souris
Je suis au paradis
Donne-moi toutes ces lumières
Donne-moi ces moments éphémères
Donne-moi toutes tes chimères
Donne-moi les plus beaux jours sur terre
Le destin t’a mis sur ma route
Ce matin, je n’ai plus de doute
Je sais que dans cette vie
Je sais que dans cet infini
Quelqu’un m’écoute
C’est ton anniversaire
Tu souffles tes bougies
Nos vœux les plus sincères
Pour toute ta vie
Tu as tout ce que tu veux
Ta famille qui te chérit
Et je vois dans tes yeux
Tout ton monde réuni
Alors cette nuit dans tes rêves
Au plus profond de ton lit
Tu reverras sur nos lèvres
Nos sourires d’aujourd’hui
Parties tes colères
Partis tes ennuis
Tu reprends tous mes airs
À nouveau tu souris
Je suis au paradis

Je suis dans ce tunnel
Ce tunnel de l’IRM
Les bruits emplissent ma tête
Tout résonne, c’est pas la fête
C’est pas la fête
Dans ma tête
Il y a du brouillard
Dans ma tête
C’est la nuit noire
Je voudrais voir la lumière
Encore passer des jours sur terre
J’ai encore tant de choses à faire
D’amour et de prières
Mais voilà
Il y a ces choses en moi
Ces choses qui ne s’en vont pas
Tous ces petits bruits
Qui m’ôtent toute vie
Regarde, où j’en suis
Regarde mon infini
Regarde, je vais vers l’oubli
Regarde, c’est la fin d’une vie
Et pourtant, je me réjouis
D’être là encore aujourd’hui
Mais demain
Mais demain
Quel sera mon destin
Et voilà
Il y a ces choses en moi
Ces choses qui ne s’en vont pas
Ces choses qui restent en moi

Il faut du temps pour partager ton silence
Il faut du temps pour partager ton espérance
Les jours te sont comptés
Voilà ta vérité
Toutes les photos sur le mur de ta chambre
Nous tes petiots avec nos regards d’ange
Toute une vie
Qui s’est enfuie
Vers l’oubli
Ton silence en toile de fond
Sur lequel les mots dansent
Ils dessinent tout leur sens
Ils trouvent toute leur résonance
Dans ce sommeil profond
Et maintenant, rappelle-toi
Dans ta tête, tu vois tout ça
Comme une étincelle au bout des doigts
Une étincelle qui jaillit comme ça
Ta main nous montre
Ce qui est en toi
Ta main nous montre
Un instant de joie
Nous sommes tous auprès de toi
Mais dans ta tête, tu ne vois que ça
Comme un éclair dans la nuit de tes pas
Comme un sourire qui ne vieillit pas
Ton sourire nous montre
Ce qui vit en toi
Ton sourire nous montre
Cet instant de joie
Ton silence en toile de fond
Sur lequel les mots dansent
Ils dessinent tout leur sens
Ils trouvent toute leur résonance
Dans ce sommeil profond
Il faut du temps pour donner son silence
Il faut du temps pour y trouver son sens
Les jours nous sont comptés
Voilà notre vérité
Toute une histoire sur le mur de ta chambre
Comme un espoir pour tes petits anges
Toute une vie
Qui s’est enfuie
Que je n’oublie
Que personne n’oublie
Ton silence en toile de fond
Qui m’émeut au plus profond
Même si les mots dansent
En dessinant leur sens
Il y aura toujours
Entre-nous notre amour

Tu étais une petite boule d’amour
Un regard sombre de velours
Une petite chienne toute noire
Qui nous est arrivée un soir
On t’a donné le nom de Frimousse
Souvenir d’un chat appelé Mousse
Tu nous as tout donné
Sans jamais rien compter
Nous t’avons aimée si tant
Nous t’avons aimée tout le temps
Nous t’avons aimée comme un enfant
Notre amour a été si grand
Un amour si vivant
Tu cours toujours dans notre maison
Tes pas résonnent plus que de raison
Tes pas résonnent dans ce silence
Et nous mesurons ton absence
Nos courses en forêt de Notre-Dame
Étaient beaucoup plus qu’une promenade
On ne comptait pas nos heures
Car c’était que du bonheur
Nous t’avons aimée si tant
Nous t’avons aimée tout le temps
Nous t’avons aimée comme un enfant
Notre amour a été si grand
Un amour si vivant
Maintenant dans les étoiles tu voyages
Tu cours, tu joues avec les nuages
Emplie de nous tu aboies
De là-haut, tu nous vois
Tant d’amour que tu nous as appris
L’important, l’essentiel de la vie
L’amour brut sans calcul
Que nous mesurons avec le recul
Nous t’avons aimée si tant
Nous t’avons aimée tout le temps
Nous t’avons aimée comme un enfant
Notre amour a été si grand
Un amour si vivant
Un amour si déchirant

Mon enfant
Quand tu t’éveilles ce matin
Tu as le temps
De devenir grand
Et tu grandiras
Et tu comprendras
Que tout ça
Est resté là
Dans ce matin
À présent
C’est aujourd’hui que tu rêves
D’un autre temps
Tu es un enfant
Même devenu grand
Rien ne se comprend
Que tout ça
C’était là-bas
Dans un rêve
Mon cœur
Noël est là et ces cadeaux
De là-haut
Mes yeux se couvrent d’un voile
Comme une étoile
Comme une fleur
Sur ton cœur

Au coin du feu une larme
Coule dans un long silence
Autour d’une ride sans âme,
Et la pendule se balance.
Et la larme de fatigue
Se fane sur ce visage
Trop mûri comme une figue,
Et la pendule se balance.
Assoupie, un livre posé
Sur ces genoux, elle rêve
De sa jeunesse du temps passé,
Et la pendule se balance.
Le feu s’éteint, la braise rougit,
Le froid s’installe pour la nuit,
Elle se réveille, endormie.
Et la pendule se balance.

Aux murmures du vent,
à la lueur de votre étoile,
je vous écris maintenant,
sans pudeur et sans voile,
qu'au mouvement du temps
rien ne s'efface,
et lorsque je serai poussière au néant,
vous resterez ma seule trace.