Thierry Bonnefoix
Sur cet Album
Artiste
Thierry BonnefoixGenres
Chanson françaiseDate de Sortie
4 March 2024Auteur
Thierry BonnefoixCompositeur
Thierry BonnefoixArrangement
Thierry BonnefoixInterprète
Thierry BonnefoixParoles
Les pages de ce livre
Sur une plage
De sable fin
Je dessine ton image
Tes jolies mains
À ton visage
Je pose le mien
Le vague à l’âme
Efface notre destin
Je suis là pour Toi
Je me donne à Toi
C’est ainsi
Que je vois la vie
C’est histoire d’un jour
Ou peut-être toujours
Sur un lit de fleurs
Comme une abeille
Je butine ton cœur
Face au soleil
Et pour quelques heures
Je goute ce miel
Jusqu’aux dernières lueurs
Que me donne le ciel
Je suis là pour Toi
Je me donne à Toi
C’est ainsi
Que je vois la vie
C’est histoire d’un jour
Ou peut-être toujours
Sur cet océan
Comme un bateau ivre
De mes sentiments
Je veux te vivre
Qu’importe le néant
Je ne peux survivre
À ce déchirement
Des pages de ce livre
Je suis là pour Toi
Je me donne à Toi
C’est ainsi
Que je vois la vie
C’est histoire d’un jour
Ou peut-être toujours
De sable fin
Je dessine ton image
Tes jolies mains
À ton visage
Je pose le mien
Le vague à l’âme
Efface notre destin
Je suis là pour Toi
Je me donne à Toi
C’est ainsi
Que je vois la vie
C’est histoire d’un jour
Ou peut-être toujours
Sur un lit de fleurs
Comme une abeille
Je butine ton cœur
Face au soleil
Et pour quelques heures
Je goute ce miel
Jusqu’aux dernières lueurs
Que me donne le ciel
Je suis là pour Toi
Je me donne à Toi
C’est ainsi
Que je vois la vie
C’est histoire d’un jour
Ou peut-être toujours
Sur cet océan
Comme un bateau ivre
De mes sentiments
Je veux te vivre
Qu’importe le néant
Je ne peux survivre
À ce déchirement
Des pages de ce livre
Je suis là pour Toi
Je me donne à Toi
C’est ainsi
Que je vois la vie
C’est histoire d’un jour
Ou peut-être toujours
Amour Amitié
Amour, amitié
Pourquoi choisir
cette vérité
Lorsque tu désires
Simplement donner
Lorsque tu désires
Simplement aimer
Amour amitié
C’est plus que dire
C’est pas chanter
Même pas écrire
Même pas parler
Juste le vivre
Simplement aimer
Oh ! Mon Amour
Oh ! Mon Amie
Reine d’un jour
Reine d’une vie
À cette cour
Tu t’y ennuies
Comme toujours
Comme toujours
Oh ! Mon Amour
Oh ! Mon Amie
Reine d’un jour
Reine d’une vie
Dans cette tour
Tu me souris
Comme toujours
Comme toujours
Amour, amitié
Pourquoi choisir
Cette vérité
Comment te dire
À l’être aimé
Pour toi le pire
Être oubliée
Amour, amitié
J’aimerai dire
Toutes mes pensées
Ainsi finir
Cette mélopée
Ainsi t’écrire
Amour, amitié
Pourquoi choisir
cette vérité
Lorsque tu désires
Simplement donner
Lorsque tu désires
Simplement aimer
Amour amitié
C’est plus que dire
C’est pas chanter
Même pas écrire
Même pas parler
Juste le vivre
Simplement aimer
Oh ! Mon Amour
Oh ! Mon Amie
Reine d’un jour
Reine d’une vie
À cette cour
Tu t’y ennuies
Comme toujours
Comme toujours
Oh ! Mon Amour
Oh ! Mon Amie
Reine d’un jour
Reine d’une vie
Dans cette tour
Tu me souris
Comme toujours
Comme toujours
Amour, amitié
Pourquoi choisir
Cette vérité
Comment te dire
À l’être aimé
Pour toi le pire
Être oubliée
Amour, amitié
J’aimerai dire
Toutes mes pensées
Ainsi finir
Cette mélopée
Ainsi t’écrire
Amour, amitié
La douleur de l'amour
L’amour est une douleur
Qui ne s’efface jamais
C’est comme un portrait
Dessiné à la craie
C’est comme une chanson
Qui n’aurait pas de son
Maintenant, je dessine ton cœur
Qui n’battra plus jamais
C’est une montre gousset
Dont l’heure est à l’arrêt
C’est le silence des secondes
Qui a changé mon monde
Reviens marcher dans le soleil
Éclairer ton ombre
Reviens danser à mon réveil
Éclairer ma pénombre
Reviens chanter à mon oreille
Les mélodies du monde
L’amour est une douleur
Qui ne s’efface jamais
C’est comme un portrait
Dessiné à la craie
C’est comme cette chanson
Qui n’aurait plus de son
C’est comme une chanson
Qui n’a plus de son
Qui ne s’efface jamais
C’est comme un portrait
Dessiné à la craie
C’est comme une chanson
Qui n’aurait pas de son
Maintenant, je dessine ton cœur
Qui n’battra plus jamais
C’est une montre gousset
Dont l’heure est à l’arrêt
C’est le silence des secondes
Qui a changé mon monde
Reviens marcher dans le soleil
Éclairer ton ombre
Reviens danser à mon réveil
Éclairer ma pénombre
Reviens chanter à mon oreille
Les mélodies du monde
L’amour est une douleur
Qui ne s’efface jamais
C’est comme un portrait
Dessiné à la craie
C’est comme cette chanson
Qui n’aurait plus de son
C’est comme une chanson
Qui n’a plus de son
Ce marin
Encore une nuit
Sans sommeil
Encore une nuit
En tout point pareil
Encore une nuit
Sans ton soleil
Encore
Encore
Je suis un marin
Amarré au port
Comme un destin
Sans ses voiles dehors
Je suis un marin
Regardant la lune
Un soir de festin
Sans invitation aucune
Je suis ce marin
Je suis ce destin
Et maintenant
Le jour se lève
Comme un enfant
D’un mauvais rêve
Se réveille hors du temps
Assis sur la grève
Ce marin pensant
N’avoir plus de rêves
Au loin une sirène
Au loin ce marin
C’est une reine
Dans ce matin
Cette une lueur
Dans cet océan
Qui comblera son cœur
Jusqu’à la fin des temps
Sans sommeil
Encore une nuit
En tout point pareil
Encore une nuit
Sans ton soleil
Encore
Encore
Je suis un marin
Amarré au port
Comme un destin
Sans ses voiles dehors
Je suis un marin
Regardant la lune
Un soir de festin
Sans invitation aucune
Je suis ce marin
Je suis ce destin
Et maintenant
Le jour se lève
Comme un enfant
D’un mauvais rêve
Se réveille hors du temps
Assis sur la grève
Ce marin pensant
N’avoir plus de rêves
Au loin une sirène
Au loin ce marin
C’est une reine
Dans ce matin
Cette une lueur
Dans cet océan
Qui comblera son cœur
Jusqu’à la fin des temps
La pluie
La pluie sur tes joues
La pluie sur ta vie
La pluie est en nous
La pluie dans la nuit
La pluie ruisselle
incessante
la pluie ruisselle
oppressante
Dis-moi
Ce qu’il y a
Dis-moi
Ce qui ne va pas
Dis-moi
Ce qu’ont tes yeux
Dis-moi
Ces mots "nous Deux"
Sur notre route
Ces quelques gouttes
S’en doute un peu trop
Quand on a le cœur gros
Où sont les toujours
Où sont nos mots d’amour
Où sont tes sourires
Nos éclats de rire
Dis-toi
Que c’est pas toi
Dis-toi
Que je suis là
Dis-toi
Ce que tu veux
Dis-toi
Ces mots "nous Deux"
La pluie s’est arrêtée
La pluie s’en est allée
La pluie t’a quittée
La pluie s’est envolée
La pluie séchée
Sur ton cœur au vent
D’un doux zéphyr léché
À notre amour naissant
La pluie sur ta vie
La pluie est en nous
La pluie dans la nuit
La pluie ruisselle
incessante
la pluie ruisselle
oppressante
Dis-moi
Ce qu’il y a
Dis-moi
Ce qui ne va pas
Dis-moi
Ce qu’ont tes yeux
Dis-moi
Ces mots "nous Deux"
Sur notre route
Ces quelques gouttes
S’en doute un peu trop
Quand on a le cœur gros
Où sont les toujours
Où sont nos mots d’amour
Où sont tes sourires
Nos éclats de rire
Dis-toi
Que c’est pas toi
Dis-toi
Que je suis là
Dis-toi
Ce que tu veux
Dis-toi
Ces mots "nous Deux"
La pluie s’est arrêtée
La pluie s’en est allée
La pluie t’a quittée
La pluie s’est envolée
La pluie séchée
Sur ton cœur au vent
D’un doux zéphyr léché
À notre amour naissant
Du bout du pont
Sur le pont d’Avignon
Il y a cette chanson
Du bout du pont
Et c’est là que nous dansions
Et c’est là que nous nous aimions
Du bout du pont
Et sur cette rivière
Nous étions si fières
En se fichant de tout
En se fichant de nous
En se fichant de nous
Que reste-t-il de notre pont
Que reste-t-il de notre chanson
Du bout du pont
C’est comme un tourbillon
Qui nous a fait toucher le fond
Du bout du pont
Et sur cette rivière
Je vous parle d’hier
Où je me suis noyé
Toujours à ses côtés
Toujours à ses côtés
Sur le pont d’Avignon
Il y a cette chanson
Du bout du pont
Et c’est là que nous dansions
Et c’est là que nous nous aimions
Du bout du pont
Du bout du pont
Il y a cette chanson
Du bout du pont
Et c’est là que nous dansions
Et c’est là que nous nous aimions
Du bout du pont
Et sur cette rivière
Nous étions si fières
En se fichant de tout
En se fichant de nous
En se fichant de nous
Que reste-t-il de notre pont
Que reste-t-il de notre chanson
Du bout du pont
C’est comme un tourbillon
Qui nous a fait toucher le fond
Du bout du pont
Et sur cette rivière
Je vous parle d’hier
Où je me suis noyé
Toujours à ses côtés
Toujours à ses côtés
Sur le pont d’Avignon
Il y a cette chanson
Du bout du pont
Et c’est là que nous dansions
Et c’est là que nous nous aimions
Du bout du pont
Du bout du pont
Ils sont
Ils avancent à pas d’amour
Sur un tapis de velours
Ils se sont éloignés de tout
De tous ceux qui sont partis déjà
De tous ceux qui ne rêvaient pas
De tous ceux qui sont devenus fous
Main dans la main au grand jour
Leurs pas se font plus lourds
Et moi, je reste là
À les contempler dans leur amour
Et moi, je reste là
Mes yeux dans la nuit pour toujours
Comment pouvons-nous vivre cela ?
Comment supporter tout çà ?
Toi qui penses être déjà là-bas
Dis-nous ce que tu vois
Et quand je pense à ce nous
Je deviens fou
Et quand je pense à ce nous
Je deviens fou
Ils avancent dans cette cour
Toujours emplis de leur amour
Ils se sont affranchis de ce nous
De ce nous qui a fait tant de dégâts
De ce nous qui ne respirait pas
De ce nous qui mourrait pas à pas
Les yeux dans les yeux, ils savourent
Cet instant pour toujours
Et moi, je ne bouge pas
Pétrifié devant tant d’amour
Et moi, je ne bouge pas
Silencieux dans cette cour
Comment pouvons-nous vivre cela ?
Comment supporter tout çà ?
Toi qui penses être déjà là-bas
Dis-nous ce que tu vois
Et quand je pense à ce nous
Je deviens fou
Et quand je pense à ce nous
Je deviens fou
Ils avancent au terme du parcours
Ainsi disparaître à leur tour
Ils se sont dispersés dans ce tout
De ce tout, ils sont devenus un
De ce tout comme tout à chacun
De ce tout, je me suis éteint
Unis dans leur destin d’amour
Une lumière nouvelle éclaire ce jour
Et moi, je ne suis plus là
Au vent dispersé pour toujours
Et moi, je ne suis plus là
Devenu poussière dans les labours
Comment pouvons-nous vivre cela ?
Comment supporter tout çà ?
Toi qui penses être déjà là-bas
Dis-nous ce que tu vois
Et quand je pense à ce nous
Je suis devenu fou
Et quand je pense à ce nous
Je suis ce nous
Sur un tapis de velours
Ils se sont éloignés de tout
De tous ceux qui sont partis déjà
De tous ceux qui ne rêvaient pas
De tous ceux qui sont devenus fous
Main dans la main au grand jour
Leurs pas se font plus lourds
Et moi, je reste là
À les contempler dans leur amour
Et moi, je reste là
Mes yeux dans la nuit pour toujours
Comment pouvons-nous vivre cela ?
Comment supporter tout çà ?
Toi qui penses être déjà là-bas
Dis-nous ce que tu vois
Et quand je pense à ce nous
Je deviens fou
Et quand je pense à ce nous
Je deviens fou
Ils avancent dans cette cour
Toujours emplis de leur amour
Ils se sont affranchis de ce nous
De ce nous qui a fait tant de dégâts
De ce nous qui ne respirait pas
De ce nous qui mourrait pas à pas
Les yeux dans les yeux, ils savourent
Cet instant pour toujours
Et moi, je ne bouge pas
Pétrifié devant tant d’amour
Et moi, je ne bouge pas
Silencieux dans cette cour
Comment pouvons-nous vivre cela ?
Comment supporter tout çà ?
Toi qui penses être déjà là-bas
Dis-nous ce que tu vois
Et quand je pense à ce nous
Je deviens fou
Et quand je pense à ce nous
Je deviens fou
Ils avancent au terme du parcours
Ainsi disparaître à leur tour
Ils se sont dispersés dans ce tout
De ce tout, ils sont devenus un
De ce tout comme tout à chacun
De ce tout, je me suis éteint
Unis dans leur destin d’amour
Une lumière nouvelle éclaire ce jour
Et moi, je ne suis plus là
Au vent dispersé pour toujours
Et moi, je ne suis plus là
Devenu poussière dans les labours
Comment pouvons-nous vivre cela ?
Comment supporter tout çà ?
Toi qui penses être déjà là-bas
Dis-nous ce que tu vois
Et quand je pense à ce nous
Je suis devenu fou
Et quand je pense à ce nous
Je suis ce nous
La fille aux pieds nus
Le sable se dérobe
Sous ses pieds nus
Et virevolte la robe
De cette inconnue
Elle court sur cette plage
Le soir venu
Même par ciel d’orage
Comme une âme
Comme une âme perdue
La voilà qui sourit
Pourquoi aujourd’hui
Dans cette nuit
Dans cette nuit
Son sourire
Illumine le ciel
Son sourire
Lui donne des ailes
Dans cette nuit de ténèbres
Sous ses pieds nus
Et virevolte la robe
De cette inconnue
Elle court sur cette plage
Le soir venu
Même par ciel d’orage
Comme une âme
Comme une âme perdue
La voilà qui sourit
Pourquoi aujourd’hui
Dans cette nuit
Dans cette nuit
Son sourire
Illumine le ciel
Son sourire
Lui donne des ailes
Dans cette nuit de ténèbres
La lampe d'Aladin
Dis-moi ce que tu veux
Je te donnerai ce que je peux
Si seulement j’étais Dieu
Je t’offrirai tous tes vœux
Et si dans la nuit
Ton rêve s’évanouit
Je t’inventerai des rois mages
Qui te feront des mirages
Et la lampe d’Aladin
Te réveillera au matin
Et quand tu t’éveilleras
Pour toi, je serai là
Et tes larmes d’autrefois
Aujourd’hui ne coulerons pas
Et quand tu t’éveilleras
Pour toi, je serai là
Et tes larmes d’autrefois
Aujourd’hui ne coulerons pas
Le vent qui souffle
Qui jamais ne s’essouffle
Pareille à la feuille morte
Le vent nous transporte
Et si dans la nuit
Je me suis enfui
C’est pour aller chercher
Tous les trésors oubliés
Et la lampe d’Aladin
Que tu frotteras au matin
Et quand tu t’éveilleras
Pour toi, je serai là
Et tes larmes d’autrefois
Aujourd’hui ne coulerons pas
Je te donnerai ce que je peux
Si seulement j’étais Dieu
Je t’offrirai tous tes vœux
Et si dans la nuit
Ton rêve s’évanouit
Je t’inventerai des rois mages
Qui te feront des mirages
Et la lampe d’Aladin
Te réveillera au matin
Et quand tu t’éveilleras
Pour toi, je serai là
Et tes larmes d’autrefois
Aujourd’hui ne coulerons pas
Et quand tu t’éveilleras
Pour toi, je serai là
Et tes larmes d’autrefois
Aujourd’hui ne coulerons pas
Le vent qui souffle
Qui jamais ne s’essouffle
Pareille à la feuille morte
Le vent nous transporte
Et si dans la nuit
Je me suis enfui
C’est pour aller chercher
Tous les trésors oubliés
Et la lampe d’Aladin
Que tu frotteras au matin
Et quand tu t’éveilleras
Pour toi, je serai là
Et tes larmes d’autrefois
Aujourd’hui ne coulerons pas
Loin de Toi
Tout est parti de ce rien
Quand tu disais que c’est un tout
Je pensais à moins que rien
Je pensais que ce n’était pas nous
Tu me parlais d’attendre demain
Tu te figeais, là, debout
Et tes larmes de notre destin
Glissaient le long de tes joues
Je me disais que peut-être
Je pourrai me permettre
D’être toujours le même
D’être celui qui t’aime
Celui qui t’aime
Je voudrais dire quand tu es loin
Tes mots d’amour me rendent fou
Et tes silences le sourire en coin
Comme toujours me mettent à genou
Tu nous voulais amoureux et certains
Dans notre monde fait d’entre nous
Et puis voilà ces jours incertains
Dans la glace nos visages flous
Je me disais que peut-être
Je pourrai me permettre
D’être toujours le même
D’être celui qui t’aime
Celui qui t’aime
Je me disais que peut-être
Je pourrai me permettre
D’être toujours le même
D’être celui qui t’aime
Celui qui t’aime
À la lumière de ce chemin
Être à tes côtés sur ces cailloux
Je veux marcher main dans ta main
Je te veux toi, je nous veux Nous
Je me disais que peut-être
Je pourrai me permettre
D’être toujours le même
D’être celui qui t’aime
Celui qui t’aime
Quand tu disais que c’est un tout
Je pensais à moins que rien
Je pensais que ce n’était pas nous
Tu me parlais d’attendre demain
Tu te figeais, là, debout
Et tes larmes de notre destin
Glissaient le long de tes joues
Je me disais que peut-être
Je pourrai me permettre
D’être toujours le même
D’être celui qui t’aime
Celui qui t’aime
Je voudrais dire quand tu es loin
Tes mots d’amour me rendent fou
Et tes silences le sourire en coin
Comme toujours me mettent à genou
Tu nous voulais amoureux et certains
Dans notre monde fait d’entre nous
Et puis voilà ces jours incertains
Dans la glace nos visages flous
Je me disais que peut-être
Je pourrai me permettre
D’être toujours le même
D’être celui qui t’aime
Celui qui t’aime
Je me disais que peut-être
Je pourrai me permettre
D’être toujours le même
D’être celui qui t’aime
Celui qui t’aime
À la lumière de ce chemin
Être à tes côtés sur ces cailloux
Je veux marcher main dans ta main
Je te veux toi, je nous veux Nous
Je me disais que peut-être
Je pourrai me permettre
D’être toujours le même
D’être celui qui t’aime
Celui qui t’aime
L'adieu
Et passent les saisons
Et passe le temps
Que deviennent nos serments
Dans toutes mes chansons ?
Une farandole
De belles paroles
Des mots en l’air
Comme un vieil air
Où est passée notre passion
Où sont nos sentiments ?
Perdus dans cette maison
Une tombe, un enterrement
Nous parlions d’amour
En disant toujours
Mais voilà l’adieu
Au fond de nos yeux
Et passent les saisons
Et passe le temps
Que deviennent nos serments
Dans toutes mes chansons ?
Des vers dans l’alcool
Comme farandole
Qui traine par terre
En serpillère
Où sont passées nos visions ?
Où sont nos mots d’aimants ?
Envolés dans ce tourbillon
De nos incompréhensions
Disparus les beaux jours
Disparus les toujours
Je ne vois que feu
et cendres dans nos yeux.
Et passe le temps
Que deviennent nos serments
Dans toutes mes chansons ?
Une farandole
De belles paroles
Des mots en l’air
Comme un vieil air
Où est passée notre passion
Où sont nos sentiments ?
Perdus dans cette maison
Une tombe, un enterrement
Nous parlions d’amour
En disant toujours
Mais voilà l’adieu
Au fond de nos yeux
Et passent les saisons
Et passe le temps
Que deviennent nos serments
Dans toutes mes chansons ?
Des vers dans l’alcool
Comme farandole
Qui traine par terre
En serpillère
Où sont passées nos visions ?
Où sont nos mots d’aimants ?
Envolés dans ce tourbillon
De nos incompréhensions
Disparus les beaux jours
Disparus les toujours
Je ne vois que feu
et cendres dans nos yeux.
La page tournée
Si tu tournes la page
Je t’aimerai si tant
Qu’à la nuit des temps
Ouverte sera ta page
ma plume en marque-page
Tout en rondeur à l’extérieur
De lignes brisées à l’intérieur
Elle compose sa vie
Comme une symphonie
Son âme ruisselle tout à coup
Et les notes qu’elle joue
Que des larmes sur ses joues
Si tu tournes la page
Je t’aimerai si tant
Qu’à la nuit des temps
Ouverte sera ta page
Ma plume en marque-page
Je t’imagine peut-être ailleurs
Je t’imagine dans un tailleur
Dessinant tes envies
Comme d’autres leur ennui
Ton âme se rit de moi, de nous
Et des notes elle se fout
Comme des larmes sur mes joues
Si tu tournes la page
Je t’aimerai si tant
Qu’à la nuit des temps
Ouverte sera ta page
ma plume en marque-page
Tout en bonheur à l’extérieur
Si grand malheur à l’intérieur
Elle imagine sa vie
Les couleurs d’aujourd’hui
Son âme peinte de ses atouts
De nos teintes de courroux
Comme une larme à tes genoux
Si tu tournes la page
Je t’aimerai si tant
Qu’à la nuit des temps
Ouverte sera ta page
ma plume en marque-page
Tout en rondeur à l’extérieur
De lignes brisées à l’intérieur
Elle compose sa vie
Comme une symphonie
Son âme ruisselle tout à coup
Et les notes qu’elle joue
Que des larmes sur ses joues
Si tu tournes la page
Je t’aimerai si tant
Qu’à la nuit des temps
Ouverte sera ta page
Ma plume en marque-page
Si tu tournes la page
Je t’aimerai si tant
Qu’à la nuit des temps
Ouverte sera ta page
Ma plume en marque-page
Je t’aimerai si tant
Qu’à la nuit des temps
Ouverte sera ta page
ma plume en marque-page
Tout en rondeur à l’extérieur
De lignes brisées à l’intérieur
Elle compose sa vie
Comme une symphonie
Son âme ruisselle tout à coup
Et les notes qu’elle joue
Que des larmes sur ses joues
Si tu tournes la page
Je t’aimerai si tant
Qu’à la nuit des temps
Ouverte sera ta page
Ma plume en marque-page
Je t’imagine peut-être ailleurs
Je t’imagine dans un tailleur
Dessinant tes envies
Comme d’autres leur ennui
Ton âme se rit de moi, de nous
Et des notes elle se fout
Comme des larmes sur mes joues
Si tu tournes la page
Je t’aimerai si tant
Qu’à la nuit des temps
Ouverte sera ta page
ma plume en marque-page
Tout en bonheur à l’extérieur
Si grand malheur à l’intérieur
Elle imagine sa vie
Les couleurs d’aujourd’hui
Son âme peinte de ses atouts
De nos teintes de courroux
Comme une larme à tes genoux
Si tu tournes la page
Je t’aimerai si tant
Qu’à la nuit des temps
Ouverte sera ta page
ma plume en marque-page
Tout en rondeur à l’extérieur
De lignes brisées à l’intérieur
Elle compose sa vie
Comme une symphonie
Son âme ruisselle tout à coup
Et les notes qu’elle joue
Que des larmes sur ses joues
Si tu tournes la page
Je t’aimerai si tant
Qu’à la nuit des temps
Ouverte sera ta page
Ma plume en marque-page
Si tu tournes la page
Je t’aimerai si tant
Qu’à la nuit des temps
Ouverte sera ta page
Ma plume en marque-page