Thierry Bonnefoix
Sur cet Album
Artiste
Thierry BonnefoixGenres
Chanson françaiseDate de Sortie
9 December 2024Auteur
Thierry BonnefoixCompositeur
Thierry BonnefoixArrangement
Thierry BonnefoixInterprète
Thierry BonnefoixParoles
Mal d'amour
C’est aujourd’hui dimanche
Et j’ai le mal d’amour
C’est aujourd’hui dimanche
Et j’écris le mot toujours
C’est une rage de dents
Dedans mon petit cœur
Et dans cette douleur
Un filet de sang
Tu as mis ta robe blanche
Et j’ai le mal de toi
Tu as mis ta robe blanche
Et ce petit air est pour toi
C‘est une image de danse
Danse mon petit cœur
Et dans ce bonheur
Une douleur intense
C’est aujourd’hui dimanche
Et j’ai le mal d’amour
C’est aujourd’hui dimanche
Et j’écris le mot toujours
Tu as mis ta robe blanche
Et j’ai le mal de toi
Tu as mis ta robe blanche
Et j’ai le mal d’amour
C’est aujourd’hui dimanche
Et j’écris le mot toujours
C’est une rage de dents
Dedans mon petit cœur
Et dans cette douleur
Un filet de sang
Tu as mis ta robe blanche
Et j’ai le mal de toi
Tu as mis ta robe blanche
Et ce petit air est pour toi
C‘est une image de danse
Danse mon petit cœur
Et dans ce bonheur
Une douleur intense
C’est aujourd’hui dimanche
Et j’ai le mal d’amour
C’est aujourd’hui dimanche
Et j’écris le mot toujours
Tu as mis ta robe blanche
Et j’ai le mal de toi
Tu as mis ta robe blanche
Le chaperon rouge
Il était une fois
Une fille dans les bois
Tout habillée de rouge
Son petit cœur qui bouge
Il était un gros loup
Qui mangeait beaucoup
Déjà dans son couffin
Avait encore très faim
Elle chantait à tue-tête
Pour ce jour de fête
Car dans son panier blanc
À manger pour mère-grand
Il était très malin
Se cachait dans le jardin
Il aimait les pots de beurre
Il attendait son heure
La suite tu l’imagines
Le loup fait grise mine
La fillette passe devant
Que devient mère-grand
Enfin tu devines
Les pissenlits par la racine
Le loup s’est fait avoir
La fillette dit fin de l’histoire
Une fille dans les bois
Tout habillée de rouge
Son petit cœur qui bouge
Il était un gros loup
Qui mangeait beaucoup
Déjà dans son couffin
Avait encore très faim
Elle chantait à tue-tête
Pour ce jour de fête
Car dans son panier blanc
À manger pour mère-grand
Il était très malin
Se cachait dans le jardin
Il aimait les pots de beurre
Il attendait son heure
La suite tu l’imagines
Le loup fait grise mine
La fillette passe devant
Que devient mère-grand
Enfin tu devines
Les pissenlits par la racine
Le loup s’est fait avoir
La fillette dit fin de l’histoire
Qui s'envoleront
Le parfum des mots d’amour
Le parfum des sentiments pour toujours
Ces volutes de fumée
Qui nous enveloppent tout un été
Qui nous donnent tant de sentiments
Autour d’un feu de camp
Autour de belles chansons
Et puis, qui s’envoleront
Qui s’envoleront
Qui s’envoleront
Ce sont tous ces visages
D’une oasis de fortune
Ce sont tous ces visages
En Pierrot de la Lune
Qui nous enveloppent de leurs rêves
De tous leurs mots du bout des lèvres
De tous ces mots qui nous donnent des ailes
Et puis, de tous ces mots qui s’envoleront
Qui s’envoleront
Qui s’envoleront
C’est ainsi que passe notre vie
De rencontre en rencontre
C’est ainsi que passe notre vie
Comme les aiguilles d’une montre
Qui nous fait remonter le temps
Qui nous fait aller de l’avant
Et c’est là peut-être
Quand les aiguilles s’arrêtent
Que toi et moi on s’envolera
On s’envolera
On s’envolera
Le parfum des sentiments pour toujours
Ces volutes de fumée
Qui nous enveloppent tout un été
Qui nous donnent tant de sentiments
Autour d’un feu de camp
Autour de belles chansons
Et puis, qui s’envoleront
Qui s’envoleront
Qui s’envoleront
Ce sont tous ces visages
D’une oasis de fortune
Ce sont tous ces visages
En Pierrot de la Lune
Qui nous enveloppent de leurs rêves
De tous leurs mots du bout des lèvres
De tous ces mots qui nous donnent des ailes
Et puis, de tous ces mots qui s’envoleront
Qui s’envoleront
Qui s’envoleront
C’est ainsi que passe notre vie
De rencontre en rencontre
C’est ainsi que passe notre vie
Comme les aiguilles d’une montre
Qui nous fait remonter le temps
Qui nous fait aller de l’avant
Et c’est là peut-être
Quand les aiguilles s’arrêtent
Que toi et moi on s’envolera
On s’envolera
On s’envolera
Tu es vivante
Je suis totalement comblé
Ne change rien
Avec toi, je ris, je pleure
Je doute, je m’émeus
J’ai toutes ces émotions
Couché dans les blés
Ne change rien
Tu fais tourner mes heures
Chaque minute, je te veux
Et chaque minute est une moisson
De sentiments
Qui me rend vivant
Qui me rend vivant
Mais n’est-ce pas cela la vraie vie
Ne change rien
Reste telle que tu es
Jusqu’au matin
Jusqu’au matin
Jusqu’au matin
Il est des mots
Qui nous colle à la peau
Il est un sentiment
Qui jamais ne dément
Ce grand amour
Qui reste pour toujours
Et quand la vie
Vous fuit…
Tant que je suis vivant
Tu es vivante
Tant que je suis souriant
Tu es souriante
Tant que je vis
Tu vis
Tant que je pleure
Tu pleures
Je suis ici
Tu es au paradis
Je suis ici
Je m’ennuie
De toutes ces heures
Qui ont fait mon bonheur
Tu es vivante
Ne change rien
Avec toi, je ris, je pleure
Je doute, je m’émeus
J’ai toutes ces émotions
Couché dans les blés
Ne change rien
Tu fais tourner mes heures
Chaque minute, je te veux
Et chaque minute est une moisson
De sentiments
Qui me rend vivant
Qui me rend vivant
Mais n’est-ce pas cela la vraie vie
Ne change rien
Reste telle que tu es
Jusqu’au matin
Jusqu’au matin
Jusqu’au matin
Il est des mots
Qui nous colle à la peau
Il est un sentiment
Qui jamais ne dément
Ce grand amour
Qui reste pour toujours
Et quand la vie
Vous fuit…
Tant que je suis vivant
Tu es vivante
Tant que je suis souriant
Tu es souriante
Tant que je vis
Tu vis
Tant que je pleure
Tu pleures
Je suis ici
Tu es au paradis
Je suis ici
Je m’ennuie
De toutes ces heures
Qui ont fait mon bonheur
Tu es vivante
Quand
Quand tu seras là ?
Quand tu m’aimeras ?
Quand toi et moi
On vivra tout çà ?
Quand toi et moi
On s’aimera ?
Tu danseras
Tu rigoleras
Tu m’embrasseras
Tu t’envoleras
Toi, moi, nous
Comme des fous
Et dans notre matin
Mes yeux seront les tiens
Et nos draps de satin
Seront couleur câlin
Quand je serai là
Cet amour en moi ?
Quand je serai là
Pour vivre tout çà ?
Quand toi et moi
On s’aimera ?
Je danserai
Je rigolerai
Je t’embrasserai
Je m’envolerai
Toi, moi, nous
Comme des fous
Et dans notre avenir
Nos chants et nos rires
Pour ne plus souffrir
Seront nos souvenirs
Quand tu seras là ?
Quand tu m’aimeras ?
Quand toi et moi
On vivra tout çà ?
Quand toi et moi
On s’aimera ?
Nous danserons
Nous rigolerons
Nous nous embrasserons
Nous nous envolerons
Toi, moi, nous
Comme des fous
La la la
La la la
La la la
La la la
Quand toi et moi
On s’aimera ?
Quand tu m’aimeras ?
Quand toi et moi
On vivra tout çà ?
Quand toi et moi
On s’aimera ?
Tu danseras
Tu rigoleras
Tu m’embrasseras
Tu t’envoleras
Toi, moi, nous
Comme des fous
Et dans notre matin
Mes yeux seront les tiens
Et nos draps de satin
Seront couleur câlin
Quand je serai là
Cet amour en moi ?
Quand je serai là
Pour vivre tout çà ?
Quand toi et moi
On s’aimera ?
Je danserai
Je rigolerai
Je t’embrasserai
Je m’envolerai
Toi, moi, nous
Comme des fous
Et dans notre avenir
Nos chants et nos rires
Pour ne plus souffrir
Seront nos souvenirs
Quand tu seras là ?
Quand tu m’aimeras ?
Quand toi et moi
On vivra tout çà ?
Quand toi et moi
On s’aimera ?
Nous danserons
Nous rigolerons
Nous nous embrasserons
Nous nous envolerons
Toi, moi, nous
Comme des fous
La la la
La la la
La la la
La la la
Quand toi et moi
On s’aimera ?
Le soleil se lève à l'Est
Le soleil se lève à l’Est
De feux et de vents
L’horizon amène la peste
De fers et de sangs
Tu te réveilles à l’Ouest
De tes yeux innocents
Et de tes mains, d’un geste
Tu refuses le néant
Ce sont des hommes comme nous
Qui sont devenus fous
Ils se prennent pour Dieu
La haine au fond des yeux
Est-ce le gène de l’humain
D’exterminer son prochain
Et de faire en sorte
Que notre terre soit morte
Le soleil se lève à l’Est
Il n’y a plus que du vent
À l’horizon que des restes
Et des animaux errants
Le silence sévit à l’Ouest
Comme à l’Est tout autant
Il n’y a plus de gestes
Que des trous béants
Est-ce cela notre destinée
Pour être dans la gloire
De tout faire sauter
Et faire partie de l’histoire
Et si personne n’écoute
Puisque nous sommes tous morts
De tes livres d’histoire, alors
Te reste-t-il un doute ?
De feux et de vents
L’horizon amène la peste
De fers et de sangs
Tu te réveilles à l’Ouest
De tes yeux innocents
Et de tes mains, d’un geste
Tu refuses le néant
Ce sont des hommes comme nous
Qui sont devenus fous
Ils se prennent pour Dieu
La haine au fond des yeux
Est-ce le gène de l’humain
D’exterminer son prochain
Et de faire en sorte
Que notre terre soit morte
Le soleil se lève à l’Est
Il n’y a plus que du vent
À l’horizon que des restes
Et des animaux errants
Le silence sévit à l’Ouest
Comme à l’Est tout autant
Il n’y a plus de gestes
Que des trous béants
Est-ce cela notre destinée
Pour être dans la gloire
De tout faire sauter
Et faire partie de l’histoire
Et si personne n’écoute
Puisque nous sommes tous morts
De tes livres d’histoire, alors
Te reste-t-il un doute ?
Il ne vient pas
Ohohoh
Je chante tous ces gospels
Et je t’appelle
Mais tu ne viens pas
Ohohoh
Tu chantes tous ces gospels
Et tu l’appelles
Mais il ne vient pas
Ohohoh
On chante tous ces gospels
Et on l’appelle
Mais il ne vient pas
Ohohohoh
Ohohohoh
Ohohohoh
Ohohohoh
Ohohoh
Je chante tous ces gospels
Et je t’appelle
Mais tu ne viens pas
Ohohoh
Tu chantes tous ces gospels
Et tu l’appelles
Mais il ne vient pas
Ohohoh
On chante tous ces gospels
Et on l’appelle
Mais il ne vient pas
Ohohohoh
Ohohohoh
Ohohoh
On chante tous ces gospels
Et on l’appelle
Mais il ne vient pas
Je chante tous ces gospels
Et je t’appelle
Mais tu ne viens pas
Ohohoh
Tu chantes tous ces gospels
Et tu l’appelles
Mais il ne vient pas
Ohohoh
On chante tous ces gospels
Et on l’appelle
Mais il ne vient pas
Ohohohoh
Ohohohoh
Ohohohoh
Ohohohoh
Ohohoh
Je chante tous ces gospels
Et je t’appelle
Mais tu ne viens pas
Ohohoh
Tu chantes tous ces gospels
Et tu l’appelles
Mais il ne vient pas
Ohohoh
On chante tous ces gospels
Et on l’appelle
Mais il ne vient pas
Ohohohoh
Ohohohoh
Ohohoh
On chante tous ces gospels
Et on l’appelle
Mais il ne vient pas
Dans nos pays
Je vois les pensées sombres
Je vois grandir les ombres
Les gens sont devenus flous
Plus personne n’en voit le tout
Dans le ciel, plus d’arc-en-ciel
Notre soleil a brisé ses ailes
La pluie inonde tous les pays
La pluie inonde tous les pays
Tu vois mes idées sombres
Tu vois grandir mes ombres
Les gens sont encore plus fous
Plus personne n’en voit le bout
Dans le ciel, c’est irréel
Notre soleil a voilé nos ailes
La nuit inonde tous les pays
La nuit inonde tous les pays
Je vois encore la lumière
Qui brille sur notre Terre
Les gens regardent l’étoile
Plus personne ne se voile
Dans le ciel, un arc-en-ciel
Notre soleil retrouve ses ailes
La vie s’étend sur nos pays
La vie s’étend sur nos pays
Je vois grandir les ombres
Les gens sont devenus flous
Plus personne n’en voit le tout
Dans le ciel, plus d’arc-en-ciel
Notre soleil a brisé ses ailes
La pluie inonde tous les pays
La pluie inonde tous les pays
Tu vois mes idées sombres
Tu vois grandir mes ombres
Les gens sont encore plus fous
Plus personne n’en voit le bout
Dans le ciel, c’est irréel
Notre soleil a voilé nos ailes
La nuit inonde tous les pays
La nuit inonde tous les pays
Je vois encore la lumière
Qui brille sur notre Terre
Les gens regardent l’étoile
Plus personne ne se voile
Dans le ciel, un arc-en-ciel
Notre soleil retrouve ses ailes
La vie s’étend sur nos pays
La vie s’étend sur nos pays