Thierry Bonnefoix
Sur cet Album
Artiste
Thierry BonnefoixGenres
Chanson françaiseDate de Sortie
24 April 2020Auteur
Thierry BonnefoixCompositeur
Thierry BonnefoixArrangement
Thierry BonnefoixInterprète
Thierry BonnefoixParoles
C'est comme
C’est comme de l’eau
Qui coule dans les ruisseaux
C’est comme la pluie
Qui tombe des nuages gris
C’est comme le vent
Qui caresse les champs
C’est comme le temps
Qui s’écoule tout doucement
C’est comme le soleil
Qui éclaire toutes ces merveilles
C’est comme les étoiles
Qui guident toutes ces voiles
C’est comme la mer
Qui berce les chimères
C’est comme notre terre
Qui voyage dans l’univers
C’est comme ça de notre vie
C’est comme ça de nos amis
C’est comme ça, c’est comme ça, c’est comme ça…
Imagine tout ce qui est possible
Imagine ce que nous offre la terre
Imagine ce qui serait terrible
Imagine y bâtir des frontières
Imagine toi et moi
Imagine combattre tout ça
Imagine
Imagine-toi tout ça
Imagine toi et moi
Et toi, que veux-tu de moi ?
Et toi, que veux-tu de moi ?
Et toi, que veux-tu de moi ?
Et toi, que veux-tu de moi ?
Qui coule dans les ruisseaux
C’est comme la pluie
Qui tombe des nuages gris
C’est comme le vent
Qui caresse les champs
C’est comme le temps
Qui s’écoule tout doucement
C’est comme le soleil
Qui éclaire toutes ces merveilles
C’est comme les étoiles
Qui guident toutes ces voiles
C’est comme la mer
Qui berce les chimères
C’est comme notre terre
Qui voyage dans l’univers
C’est comme ça de notre vie
C’est comme ça de nos amis
C’est comme ça, c’est comme ça, c’est comme ça…
Imagine tout ce qui est possible
Imagine ce que nous offre la terre
Imagine ce qui serait terrible
Imagine y bâtir des frontières
Imagine toi et moi
Imagine combattre tout ça
Imagine
Imagine-toi tout ça
Imagine toi et moi
Et toi, que veux-tu de moi ?
Et toi, que veux-tu de moi ?
Et toi, que veux-tu de moi ?
Et toi, que veux-tu de moi ?
Le ciel si gris
Est-ce l’automne
Je suis comme la feuille morte
Qui virevolte à ta porte
En volute monotone
Elle se pose sur ton cœur
Se fane et tu pleures
Est-ce le ciel si gris
Qui verse toutes ces larmes
Est-ce le ciel si gris
Qui emmène ton âme
Comme une étoile dans le ciel
Montent tes prières
Comme une étoile dans le ciel
Tu es là et tu espères
Est-ce le ciel si gris
Qui verse toutes ces larmes
Est-ce le ciel si gris
Qui emmène ton âme
Comme une étoile dans le ciel
Montent tes prières
Comme une étoile dans le ciel
Tu es là et tu espères
Est-ce le ciel si gris
Qui verse toutes ces larmes
Est-ce le ciel si gris
Qui emmène ton âme
Est-ce l’automne
Je suis comme la feuille morte
Qui virevolte à ta porte
En volute monotone
Elle se pose sur ton cœur
Se fane et tu pleures
Est-ce le ciel si gris
Qui verse toutes ces larmes
Un nénuphar dans ton corps
Moi, la brume pour toujours
Un mauvais scénar, un mauvais décor
Et nous voilà dehors
Hors du temps
Dans le vent
Qui nous pousse à la mort
Mais la vie
Celle qui reste encore
Nous pousse au paradis
Je t’aime plus fort
Je t’aime plus fort
Je suis comme la feuille morte
Qui virevolte à ta porte
En volute monotone
Elle se pose sur ton cœur
Se fane et tu pleures
Est-ce le ciel si gris
Qui verse toutes ces larmes
Est-ce le ciel si gris
Qui emmène ton âme
Comme une étoile dans le ciel
Montent tes prières
Comme une étoile dans le ciel
Tu es là et tu espères
Est-ce le ciel si gris
Qui verse toutes ces larmes
Est-ce le ciel si gris
Qui emmène ton âme
Comme une étoile dans le ciel
Montent tes prières
Comme une étoile dans le ciel
Tu es là et tu espères
Est-ce le ciel si gris
Qui verse toutes ces larmes
Est-ce le ciel si gris
Qui emmène ton âme
Est-ce l’automne
Je suis comme la feuille morte
Qui virevolte à ta porte
En volute monotone
Elle se pose sur ton cœur
Se fane et tu pleures
Est-ce le ciel si gris
Qui verse toutes ces larmes
Un nénuphar dans ton corps
Moi, la brume pour toujours
Un mauvais scénar, un mauvais décor
Et nous voilà dehors
Hors du temps
Dans le vent
Qui nous pousse à la mort
Mais la vie
Celle qui reste encore
Nous pousse au paradis
Je t’aime plus fort
Je t’aime plus fort
J'imagine
J’imagine être sous le vent
J’imagine m’en allant voguant
J’imagine être éphémère
Sur cette terre
J’imagine ce qu’est l’amour
J’imagine le mot toujours
J’imagine, j’imagine
Je voudrais te conter cette histoire
Par delà le désespoir
Une histoire qui rime avec espoir
Qui rime avec amour
Qui rime avec toujours
Je suis le conteur
Je suis le déserteur
Je suis celui qui fuit
Tous ces maudits
Cette planète tourne en rond
Ainsi les êtres s’en vont
S’en vont, s’en vont
Comme un printemps
Tu emmènes mon cœur
Loin des tourments
Loin de mes peurs
Loin des douleurs
Des douleurs, des douleurs
J’imagine un monde de soleil
J’imagine tout être pareil
J’imagine des jets de fleurs
Sur nos cœurs
J’imagine un ciel étoilé
J’imagine des rires enchantés
J’imagine, j’imagine
Imagine-toi main dans la main
Imagine-toi embrassant ton proc
J’imagine m’en allant voguant
J’imagine être éphémère
Sur cette terre
J’imagine ce qu’est l’amour
J’imagine le mot toujours
J’imagine, j’imagine
Je voudrais te conter cette histoire
Par delà le désespoir
Une histoire qui rime avec espoir
Qui rime avec amour
Qui rime avec toujours
Je suis le conteur
Je suis le déserteur
Je suis celui qui fuit
Tous ces maudits
Cette planète tourne en rond
Ainsi les êtres s’en vont
S’en vont, s’en vont
Comme un printemps
Tu emmènes mon cœur
Loin des tourments
Loin de mes peurs
Loin des douleurs
Des douleurs, des douleurs
J’imagine un monde de soleil
J’imagine tout être pareil
J’imagine des jets de fleurs
Sur nos cœurs
J’imagine un ciel étoilé
J’imagine des rires enchantés
J’imagine, j’imagine
Imagine-toi main dans la main
Imagine-toi embrassant ton proc
Hymne à la vie
Je me souviens de ce jour
Je me souviens des mots d’amour
Je me souviens du printemps
Des fleurs des champs
De ce moment
D’une douceur
Dans ton regard, dans ton cœur
Et puis voilà c’est fini
Tu es partie
Tu ris, tu pleures, tu vis
Qui peut dire
Qui peut vivre
Sans amour
De ce jour
Qui veut lire
Dans ce livre
Je me souviens des nuits
Je me souviens de toi, de moi, de tout
Sans un bruit
Juste nous
Sous un ciel de nuit
J’ai partagé ton lit
Les apprentis sorciers soufflent le vent de folie,
devenir dieu,
maitriser la vie,
dire si c’est sérieux,
adieu nos ainés,
retraite calculée,
vaut mieux se confiner,
pas regarder, pas voir,
diaboliser, désinformer,
tout oublier,
trop nombreux comme un désaveu.
Je me souviens de ce jour
Je me souviens des mots d’amour
Je me souviens du printemps
Je me souviens des mots d’amour
Je me souviens du printemps
Des fleurs des champs
De ce moment
D’une douceur
Dans ton regard, dans ton cœur
Et puis voilà c’est fini
Tu es partie
Tu ris, tu pleures, tu vis
Qui peut dire
Qui peut vivre
Sans amour
De ce jour
Qui veut lire
Dans ce livre
Je me souviens des nuits
Je me souviens de toi, de moi, de tout
Sans un bruit
Juste nous
Sous un ciel de nuit
J’ai partagé ton lit
Les apprentis sorciers soufflent le vent de folie,
devenir dieu,
maitriser la vie,
dire si c’est sérieux,
adieu nos ainés,
retraite calculée,
vaut mieux se confiner,
pas regarder, pas voir,
diaboliser, désinformer,
tout oublier,
trop nombreux comme un désaveu.
Je me souviens de ce jour
Je me souviens des mots d’amour
Je me souviens du printemps
Que m'inspire ce monde
Que m’inspire ce monde
Que m’inspire cette vie
Qui se dit féconde
Et qui nous mène vers l’oubli
Je suis affolé
Par tout ce temps perdu
Tout ce temps envolé
Par des idées corrompues
Je regrette
Je ne peux oublier
Ce n’est pas une fête
C’est un sablier
L’abime se déverse
Sur tout ce qui nous est cher
Comme une froide averse
Qui pénètre au plus profond de notre chair
Tu regardes les étoiles
Tu voudrais partir ailleurs
Hisser toutes tes voiles
Vers un monde que tu crois meilleur
Mais moi, je te dis non
Car le plus beau des voyages
Tient juste dans notre raison
Et non pas au-delà des nuages
Alors moi, je te dis non
Car le plus beau des mariages
Tient juste dans notre maison
Où raison et bonheur font ménage
Mais moi, je te dis non
Car le plus beau des voyages
Tient juste dans notre raison
Et non pas au-delà des nuages
Que m’inspire cette vie
Qui se dit féconde
Et qui nous mène vers l’oubli
Je suis affolé
Par tout ce temps perdu
Tout ce temps envolé
Par des idées corrompues
Je regrette
Je ne peux oublier
Ce n’est pas une fête
C’est un sablier
L’abime se déverse
Sur tout ce qui nous est cher
Comme une froide averse
Qui pénètre au plus profond de notre chair
Tu regardes les étoiles
Tu voudrais partir ailleurs
Hisser toutes tes voiles
Vers un monde que tu crois meilleur
Mais moi, je te dis non
Car le plus beau des voyages
Tient juste dans notre raison
Et non pas au-delà des nuages
Alors moi, je te dis non
Car le plus beau des mariages
Tient juste dans notre maison
Où raison et bonheur font ménage
Mais moi, je te dis non
Car le plus beau des voyages
Tient juste dans notre raison
Et non pas au-delà des nuages
Where goes the world
Where goes the world ?
世界走向何方?
يذهب العالم? اين
Dónde va el mundo ?
Où va le monde ?
Где идет мир
Onde vai para o mundo?
Wohin geht die Welt ?
世界走向何方?
يذهب العالم? اين
Dónde va el mundo ?
Où va le monde ?
Где идет мир
Onde vai para o mundo?
Wohin geht die Welt ?
Enfance violée
Elle monte dans cette chambre
Cette honte
Sur sa peau d’ambre
Rêves et tourments
D’un prince charmant
Si décevant
Par son argent
Moi je la vois
qui se débat
Dans le néant
Dans le néant
Dans le néant
Elle monte avec ce client
Pour un peu
Un petit peu d’argent
Et là
Dans les ténèbres
Elle voit
Sa vie en rêve
Et ce tourment
L’enlève à son enfance
Et ce tourment
Dans cette engeance
Et ce tourment
D’une grande violence
C’est sa souffrance
Elle redescend
Toute seule
Avec ce client
Pour linceul
Sur ce trottoir
Elle rêve
D’un monde illusoire
Aux humeurs incertaines
Moi je la vois
Qui se débat
Dans le néant
Dans le néant
Dans le néant
Dans le néant
Cette honte
Sur sa peau d’ambre
Rêves et tourments
D’un prince charmant
Si décevant
Par son argent
Moi je la vois
qui se débat
Dans le néant
Dans le néant
Dans le néant
Elle monte avec ce client
Pour un peu
Un petit peu d’argent
Et là
Dans les ténèbres
Elle voit
Sa vie en rêve
Et ce tourment
L’enlève à son enfance
Et ce tourment
Dans cette engeance
Et ce tourment
D’une grande violence
C’est sa souffrance
Elle redescend
Toute seule
Avec ce client
Pour linceul
Sur ce trottoir
Elle rêve
D’un monde illusoire
Aux humeurs incertaines
Moi je la vois
Qui se débat
Dans le néant
Dans le néant
Dans le néant
Dans le néant
Etre éphémère
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
He God !
Say God give me the night!
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
He God !
Say God give me the night!
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Le seul sujet sur cette Terre
Est-ce être à terre ?
Et si je reste encore debout
Couvert de cette boue
C’est pour te montrer mon frère
L’humilité de l’homme éphémère
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
He God !
Say God give me the night!
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
He God !
Say God give me the night!
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Et si je souhaite tout refaire
Est-ce sur ce
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
He God !
Say God give me the night!
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
He God !
Say God give me the night!
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Le seul sujet sur cette Terre
Est-ce être à terre ?
Et si je reste encore debout
Couvert de cette boue
C’est pour te montrer mon frère
L’humilité de l’homme éphémère
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
He God !
Say God give me the night!
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
He God !
Say God give me the night!
Alléluia ! Alléluia ! Alléluia !
Et si je souhaite tout refaire
Est-ce sur ce
Donne-moi l'envie
Le temps ne s’arrête pas
Que tu sois là ou pas
Le temps défile devant moi
C’est toujours toi ou pas
Je vieillis plus que de raison
Dans toutes mes chansons
Et toi ?
Tu rêves de liberté
Tu rêves d’immensité
Et maintenant, on fait quoi ?
Dis moi ?
Donne-moi l’envie
Donne-moi l’envie
L’envie de m’évader
L’envie de liberté
Donne-moi
Donne-moi l’espoir
L’espoir d’un grand soir
Et toi
Je te donne toute l’Amérique
Un espoir biblique
Pour toi
Quand tu m’aimes
Je suis le roi
Le roi de tous ces poèmes
Le roi de tous ces « Je t’aime »
Et pourquoi ?
Et pourquoi ?
Donne-moi l’envie
Donne-moi l’envie
L’envie de m’évader
L’envie de liberté
Que tu sois là ou pas
Le temps défile devant moi
C’est toujours toi ou pas
Je vieillis plus que de raison
Dans toutes mes chansons
Et toi ?
Tu rêves de liberté
Tu rêves d’immensité
Et maintenant, on fait quoi ?
Dis moi ?
Donne-moi l’envie
Donne-moi l’envie
L’envie de m’évader
L’envie de liberté
Donne-moi
Donne-moi l’espoir
L’espoir d’un grand soir
Et toi
Je te donne toute l’Amérique
Un espoir biblique
Pour toi
Quand tu m’aimes
Je suis le roi
Le roi de tous ces poèmes
Le roi de tous ces « Je t’aime »
Et pourquoi ?
Et pourquoi ?
Donne-moi l’envie
Donne-moi l’envie
L’envie de m’évader
L’envie de liberté
Là-bas
Je voulais t’écrire
Cette romance de mon enfance
Je voulais te dire
Que toutes ces souffrances
Là-bas le soleil
Sans autre pareil
Comme un espoir
Même dans le noir
Là-bas l’amour
Qui rime avec toujours
Là-bas l’envie
D’être au paradis
Là-bas les gens heureux
Là-bas c’est beaucoup mieux
Là-bas, là-bas
Cette chanson pour toi
Cette chanson qui te mène à moi
Cette chanson dans mes bras
Cette chanson qui pour une fois
Veut te donner l’espoir
L’espoir de ce grand soir
Où tous tes rêves d’enfants
Sont devenus présents
Hum...
Hou...
Cette chanson pour toi
Cette chanson qui te mène à moi
Cette chanson dans mes bras
Cette chanson qui pour une fois
Veut te donner l’espoir
L’espoir de ce grand soir
Où tous tes rêves d’enfants
Sont devenus présents
Cette romance de mon enfance
Je voulais te dire
Que toutes ces souffrances
Là-bas le soleil
Sans autre pareil
Comme un espoir
Même dans le noir
Là-bas l’amour
Qui rime avec toujours
Là-bas l’envie
D’être au paradis
Là-bas les gens heureux
Là-bas c’est beaucoup mieux
Là-bas, là-bas
Cette chanson pour toi
Cette chanson qui te mène à moi
Cette chanson dans mes bras
Cette chanson qui pour une fois
Veut te donner l’espoir
L’espoir de ce grand soir
Où tous tes rêves d’enfants
Sont devenus présents
Hum...
Hou...
Cette chanson pour toi
Cette chanson qui te mène à moi
Cette chanson dans mes bras
Cette chanson qui pour une fois
Veut te donner l’espoir
L’espoir de ce grand soir
Où tous tes rêves d’enfants
Sont devenus présents
Les enfants martyres
C’est une enfant
Dans la savane
Sans ses parents
On la condamne
Enfant de la guerre
Enfant souillée
Blessée dans sa chair
Elle est humiliée
C’est une enfant
Qui veut vivre
Comme une enfant
Et non survivre
Ses jeux pour elle
Sont dans ses rêves
D’une demoiselle
Au milieu d’une trêve
Non non non non
Non non non non
Non non non non
Comment se définir
Comment réagir
Devant tant d’horreur
Devant tant d’horreur
Il est temps
Sur nos continents
d’être enfin
Cet humain
Tu es si proche
Tu es si loin
Comme une mioche
Dans mon jardin
Sur ton visage
Glisse une larme
Dans ce ravage
Ta seule arme
Si les fusils
Pouvaient se taire
On entendrait ici
Sur cette terre
Le ruissellement
De tes larmes
Le ruissellement
de ton âme
Non non non non
Non non non non
Non non non non
Comment se définir
Comment réagir
Devant tant d’horreur
Devant tant d’horreur
Il est temps
Sur nos continents
d’être enfin
Cet humain
De la Pangée
À tous continents
Je n’ai qu’une pensée
Pour nos enfants
Un monde apaisé
Sans autre colère
Que regarder
Le passé de nos guerres
Un monde d’espoir
Sans autre peur
D’une autre histoire
faite de terreur
Un monde Toi et Moi
Main dans la main
Sans autre foi
Que s’appeler Humain
Dans la savane
Sans ses parents
On la condamne
Enfant de la guerre
Enfant souillée
Blessée dans sa chair
Elle est humiliée
C’est une enfant
Qui veut vivre
Comme une enfant
Et non survivre
Ses jeux pour elle
Sont dans ses rêves
D’une demoiselle
Au milieu d’une trêve
Non non non non
Non non non non
Non non non non
Comment se définir
Comment réagir
Devant tant d’horreur
Devant tant d’horreur
Il est temps
Sur nos continents
d’être enfin
Cet humain
Tu es si proche
Tu es si loin
Comme une mioche
Dans mon jardin
Sur ton visage
Glisse une larme
Dans ce ravage
Ta seule arme
Si les fusils
Pouvaient se taire
On entendrait ici
Sur cette terre
Le ruissellement
De tes larmes
Le ruissellement
de ton âme
Non non non non
Non non non non
Non non non non
Comment se définir
Comment réagir
Devant tant d’horreur
Devant tant d’horreur
Il est temps
Sur nos continents
d’être enfin
Cet humain
De la Pangée
À tous continents
Je n’ai qu’une pensée
Pour nos enfants
Un monde apaisé
Sans autre colère
Que regarder
Le passé de nos guerres
Un monde d’espoir
Sans autre peur
D’une autre histoire
faite de terreur
Un monde Toi et Moi
Main dans la main
Sans autre foi
Que s’appeler Humain